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Date de création : 12.01.2011
Dernière mise à jour :
11.05.2021
38 articles
GASTON KOMBA, AGNEAU DU SACRIFICE ?
Le secrétaire général de la chambre basse du parlement subit depuis sa nomination à ce poste une vague haineuse et de jalousie qui plombe l’action administrative de cette institution. Comme astuce, l’opposer au Président de l’auguste chambre. Certains organes de presse utilisés comme plateaux pour y voir déposée la tête de l’ancien député du Nkam.
« Je n’ai jamais trahi et je ne trahirai point » ces propos sont du Président de la chambre basse du parlement camerounais en 2013 lors de son élection comme tel alors qu’une vague de polémiques avait défrayer la chronique au sujet du rejet de sa candidature au poste de sénateur. L’ambition étant simplement de conserver la place de deuxième personnalité de la République derrière le chef de l’État. Et depuis lors l’impression qui se dégage est que l’assemblée nationale serait devenue comme le titrait le quotidien « Mutations » : Parlement, Assemblée Théâtrale.Au gré des humeurs du Président les secrétaires généraux sont remplacés sans réel motif. Et depuis l’arrivée à la tête du secrétariat général de l’assemblée nationale de l’ancien député du Nkam Gaston Komba, les vieilles habitudes refont surface. Des lobbies médiatiques mis à contribution pour saborder le travail de modernisation de l’administration de l’assemblée nationale mené par Gaston Komba.
L’inquisition malicieuse
Cette « danse bafia » fait de rétropédalages qu’impose à l’opinion nationale et internationale le Très Honorable permet-elle de garantir la sérénité et la crédibilité de l’administration parlementaire. Au Sénat on entend moins et presque jamais de bruits. Pourquoi tant de gorges chaudes à l’assemblée nationale. Et selon des indiscrétions de hauts responsables du secrétariat général de l’assemblée nationale seraient à l’origine de cette passe d’armes entre le PAN et le Secrétaire générale de l’auguste chambre. Parmi eux se retrouveraient l’adjoint de Gaston Komba et le Contrôleur général. Mais comme le dit souvent ci bien un contemporain, vaut mieux parfois avoir la paix que d’avoir raison.
Autant la traque contre les non diplômés et faux diplômés est menée dans certaines institutions publiques camerounaises, autant l’assemblée nationale ne saurait déroger à cette vaste campagne d’assainissement des meurs publiques. Mais comme la République s’apparente à une « Rue publique » où des instituions sont confisquées par certaines castes faisant desdites instituions leurs propres chasse-gardées, il est donc question de ce postulat d’observer l’hypothèque de la République et la voir sacrifier à l‘autel du népotisme, du favoritisme, de l’affairisme et de l’incompétence. Pour justifier l’hérésie de leur perfidie, ces voyous tapis dans l’ombre font à Gaston Komba une inquisition malicieuse.
Au cœur de l’action
Gaston Komba, additionne à lui seul une grande expérience, d’abord au secrétariat générale de la présidence de la République où toujours par des sauts d’humeur d’un SGPR tristement célèbre il sera reversé au crédit foncier du Cameroun. L’homme va décider de se lancer à la députation pour la circonscription du Nkam région du littoral. D’ailleurs l’histoire retient jusqu’à date que Gaston Komba est le seul député à avoir cumulé deux mandats successifs comme député l’assemblée nationale pour la circonscription politique du Nkam. Son passage à la chambre basse parle pour lui-même en tant qu’ancien coordonnateur du réseau parlementaire Espérance Jeunesse, notamment avec la création du parlement jeune dont 100 jeunes issus des milieux divers côtoient les arcanes de l’assemblée nationale à travers des caravanes dédiées à la promotion de l’entreprenariat jeune. Ces caravanes ont fait la notoriété de l’assemblée nationale du Cameroun à travers les différentes régions où elles sont passées. Ceci sous l’encadrement et l’appui du Président de l’assemblée nationale. C’est peut-être la proximité entre Gaston et Cavaye qui gêne certains qui grenouillent et manipulent pour casser cette harmonie entre le Président et sa cheville ouvrière. Ils veulent pousser le Très honorable à un infanticide politico-administrative. Mais l’homme demeure au cœur de l’action pour l’enracinement des idéaux incarnés par le Président de la République Paul Biya.
Alors que la mafia avait réussi à l’écarter pour briguer un troisième mandat largement mérité comme député lors des législatives de février 2020, Gaston Komba est renait de ses cendres en devenant le patron de l’administration de l’assemblée nationale. Quand il était considéré comme jeté dans les poubelles de l’histoire il est ressorti par la grande porte. On peut donc comprendre la gêne qui est celle de certains de ses anciens collègues restés à l’assemblée et de celle de ses ennemis-frères du Nkam. La chambre basse du parlement camerounais a connu plusieurs hommes d’expérience et compétents au secrétariat général, maintenant c’est le temps Gaston Komba. Le sadisme alimenté par ses détracteurs aurait-il raison de la pertinence de son profil ? Seul une nouvelle volteface du PAN pourrait nous en dire d’avantage sur le sort qui est celui de son secrétaire général imbibé par ses proches dans une mare aux caïmans.
Gerry Eba’a
Chroniqueur Politique
« Organiser les activités commerciales et améliorer leurs conditions de vie »
« La question qui se pose aujourd’hui, c’est comment trouver des voies et moyens afin de mieux organiser les activités commerciales et d’améliorer en même temps les conditions de vie des populations installées au barrage hydro-électrique de Mekin ? sans oublier l’aspect sécuritaire. Dans le cadre de la décentralisation les communes doivent multiplier de façon républicaine des stratégies leurs permettant d’avoir des fonds propres issus par exemple de la collecte des taxes et autres impôts. Ici à Mekin la commune de Meyomessala a des niches de recettes à développer. Ceci passe tout d’abord par la satisfaction des besoins des populations en termes des ressources de première nécessité, eau, électricité, école et centre de santé. Nous sommes venus leur dire que nous allons les déloger de l’emprise actuelle pour les recaser dans un site décent. Et sur leur site d’habitation actuel, nous allons y construire un débarcadère comme on en voit sous d’autres cieux. Une chambre froide est également en projet pour une conservation des fruits issus de la pêche. Ensuite nous y installerons un poste de collecte et de recouvrement des taxes pour le compte de la mairie. C’est cela le prix à payer pour la modernisation de Mekin ».
UN DEBARCCADERE ET DES LOGEMENTS DECENTS POUR LES HABITANTS
Dans une séance de travail avec les pêcheurs, commerçants, autochtones et allogènes, et les forces de sécurité présidée par le Maire de Meyomessala Christian Mebiame le jeudi 21 janvier 2021 plusieurs projets sont annoncés à Mekin pour une meilleure adaptation du niveau de vie liée aux activités connexes au barrage sur la Dja et la Lobo.
Peuplé de 75% d’allogènes et de 25% d’autochtones la localité de Mekin dans l’arrondissement de Meyomessala compte à ce jour un peu plus de 700 habitants selon des indiscrétions d’un recensement engagé par la sous-préfecture. La principale activité étant la pêche, les conditions de vies là-bas sont précaires ne permettant pas à la municipalité de contrôler les flux des personnes et des biens à Mekin. Vu cet état des choses et la nécessité pour la commune de Meyomessala d’élargir son assiette de recettes, l’exécutif a décidé de remettre les pendules à l’heure. Et pour ce faire, il fallait prendre le pool è travers un dialogue participatif avec les riverains notamment l’autorité traditionnelle, les pêcheurs, les autres commerçants et les responsables des forces de maintien de l’ordre. L’objectif étant de faire passer le message de la mairie auprès de la cible.
Mekin a
La démographie de cette localité évolue au jour le jour. Les pêcheurs viennent d’autres régions du Cameroun et même de certains pays d’Afrique de l’ouest (Mali, Niger…etc). Aboubakar Oumarou ressortissant de l’extrême-nord séjourne à Mekin depuis 2018 : « à travers la pêche, on réussit à nourrir de nos familles ».Nadine Ze Ndongo est braiseuse de poisson frais : « c’est un peu difficile parce que quand les clients arrivent ils se plaignent des prix prétextant que, vu que nous sommes au bord de l’eau le poisson devrait être moins cher. Pourtant ce sont les pêcheurs qui nous vendent aussi ça cher. Mais ma recette journalière minimum est de cinq mille francs CFA ».
Les échanges entre l’équipe du maire et les populations de Mekin ont permis de rassurer les uns et les autres. Mahamat Tréma, porte-parole des pêcheurs, « on a beaucoup discuté avec monsieur le maire par rapports à nos installations et des difficultés que nous rencontrons au quotidien ici. Nous avons trouvé en lui plus qu’un maire mais un patriote et père de famille avec un sens de civisme. A part lui nous avions trouvé une gendarmerie efficace et un détachement de l’armée qui assure notre sécurité 24h/24. Ici à Mekin je suis comme à Kousseri ». Le commandement traditionnel partie prenante de cette concertation a tenu remercier l’exécutif pour l’initiative, Sa Majsté Atji Alphonse, chef de village de 3e degré de Mekin, « nous recevons la visite du maire avec beaucoup de joie ainsi que toutes les pollutions. L’espoir est que ces projets portent des fruits et que Mekin dévienne sous peu une grande localité qui fera la fierté du Cameroun cher au Président de la République Paul Biya ».
Plusieurs projets d’envergure sont annoncés dans la localité de Mekin question de permettre à la mairie d’avoir une plus-value conséquente mais surtout au prix de la satisfaction des besoins des populations installées de ce lieu qui héberge le barrage Hydro-électrique de Mekin.
Gerry Eba'a
L’exécutif municipal de Meyomessala se déploie sur le terrain dans l’optique d’évaluer les différents chantiers routiers, de remettre des appuis en matériels sanitaires et d’envisager des projets majeurs dans la localité de Mekin.
Le jeudi 21 janvier 2021 était une journée très chargée pour Christian Mebiame et ses équipes. Le maire de la commune de Meyomessala en compagnie de son 4e adjoint, des conseillers municipaux et de ses plus proches collaborateurs ont sillonné certains artères urbaines et rurales de l’arrondissement à l’effet de prendre le pool de cette collectivité territoriale décentralisée. Les routes rurales et urbaines en chantiers ont reçu par cette occasion la visite de la délégation du Maire Mebiame.
La route des Sœurs
Sous financement du fonds routier pour l’exercice 2020 et suivant, les travaux de la route menant vers le couvent des sœurs de Meyomessala longue d’environ 2 km évoluent sereinement à en croire le chef de projet représentant l’entreprise D. TEK TP SARL. Et le délai de quatre mois pourra être atteint. Le maire Christian Mebiuame tout en félicitant l’évolution du chantier s’est appesanti sur la réalisation du gros œuvre à savoir le pont qui desserre la route principale au couvent. Pour le maire ce pont doit être réaliser dans les normes et les délais afin de permettre rapidement la circulation sur cet axe. Après la visite du chantier routier l’équipe du maire de Meyomessala s’est ébranlée vers le village Enyeng dans le canton Yevam-Yassaman pour une importante cérémonie de rétrocession du centre de santé renouvelé et de remise des matériels sanitaires pour le bon fonctionnement de cette infrastructure médicale.
Enyeng en santé optimale
Longtemps resté dans un état de délabrement avancé, le centre médical du village Enyeng a refait peau neuve grâce aux appuis du gouvernement de la République. Toutes les infrastructures relookées, cela va permettre aux populations de cette localité de pouvoir se soigner sur place. Surtout que la majorité sont des personnes du troisième âge qui n’ont plus besoin des tracasseries multiples pour bénéficier des soins de santé adéquat. En dehors de la réhabilitation du centre médicale d’Enyeng, le maire Mebiame est venu remettre un important dons en matériels sanitaire constitués entre autres de trois lits d’accouchement, une dizaine de lits d’hospitalisation, un groupe électrogène fonctionnant au gasoil, des gangs de soins, des bidons d’eau de javel, d’un microscope moderne, des sceaux et deux grandes armoires. Ces appuis ont été salués par les populations qui ont saisi l’occasion de formuler quelques doléances à l’endroit du maire notamment l’envoie des personnels de santé puisque le centre fonctionne actuellement avec deux agents non fonctionnaires. C’est le comité de gestion qui essaie tant bien que mal à gérer le strict minimum pour ces deux agents. Les populations attendent aussi les travaux de bitumage de leur route. A toutes ces doléances le maire a promis s’y pencher immédiatement pour Christian Mebiame la décentralisation impose actuellement aux collectivités territoriales décentralisées de s’occuper des problèmes basiques de leurs populations.
Il est coutume de dire que là où la route passe le développement suit. Au regard des actions menées par l’exécutif municipal de Meyomessala, il est évident qu’au-delà de cet aspect la santé occupe aussi une place de choix dans les stratégies à mettre sur pied pour le plein épanouissement des populations de cet arrondissement.
Gerry Eba'a
Dr. Albert ZE
LE SACRE AFRICAIN D’UN SELF-MADE MAN
Refusé à l'Université pour son âge, il est aujourd'hui une fierté mal assumée par Yaoundé.
Ni le Ministère de l'Enseignement Supérieur ni le Ministère de la Recherche... Snobisme et Indifférence caractérisés.
Le Cameroun, Afrique en miniature peut; et ce malgré les temps difficiles qu’il traverse avec des crises sociopolitiques et la grande conjoncture due aux atermoiements économiques qui secouent le monde, être fier de l’un de ses fils. Le chercheur en économie de la santé Albert ZE permet de soutenir cette thèse qui dit que rien n’est totalement à l’envers dans ce pays.
Le 05 octobre 2019 sous le ciel de la Côte d’ivoire à Abidjan, Albert ZE a reçu le Super Prix Africain d’Excellence (Spade) 2019 comme Meilleur chercheur en économie de la santé. Non sans avoir gratifié l’assistance d’un exposé résultat d’une recherche effectuée autour de la problématique des médicaments de la rue. Un ventre mou pour la quasi-totalité des systèmes de santé en Afrique subsaharienne. Le phénomène de vente des médicaments de la rue qui nécessite une clarification conceptuelle. C’est-à-dire qu’il est judicieux de nuancer entre la qualité, l’authenticité et la fiabilité des médicaments qui pullulent les circuits de la rue. Il y a des bons médicaments qui sont commercialisés dans la rue mais le souci repose sur la conservation et leur manipulation entre des mains inexpertes.
Albert ZE, fruit d’une singularité est ce jeune refoulé en 2011 par certains hauts commis de nos universités à cause de son âge (24 ans) pour être recruté comme assistant. Certainement du carburant pour continuer à galvaniser le Fondateur et Directeur de l’Institut de Recherche pour la Santé et le Développement (IRESADE). Ses interventions et analyses sur des sujets hautement stratégiques lui ont valu en dehors des menaces de mort, mais aussi un cambriolage de son véhicule les malfrats ayant emporté son matériel informatique et numérique (tablette, ordinateur portable et clés usb). Tous ces évènements n’ont fait que multiplier le capital engagement du chercheur. Il devient aujourd’hui une véritable force de propositions loin de ses collègues qui ne s’investissent qu’à la conquête de nouveaux grades au plan académique pourtant leur société souffre. Dans un pays où lorsqu’ailleurs on inaugure les aéroports, là-bas on se focalise sur les débats politiques sans plus-value à la condition humaine des citoyens.
Pour aller recevoir son sacre africain, Albert Ze n’a bénéficié d’aucun soutien du gouvernement de son pays nonobstant les démarches louables engagées par le Ministre de la Santé Publique qui pour du reste contrairement à son prédécesseur a compris la pertinence de la contribution d’un chercheur de la trame d’Albert Ze. On a félicité sur tweetter oui et après ?
Heureusement que dans son périple ivoirien Albert ZE a rencontré l’Ambassadrice du Cameroun en Côte d’Ivoire Son Excellence Marie Yvette Koloko. Cette dernière a mandaté le 1er secrétaire de l’Ambassade pour la représenter à la soirée de remise du prix. La sollicitude est également venue d’un compatriote installé en Côte d’Ivoire et qui a pignon sur rue dans les arcanes du monde la presse locale. Aristide Kinda Kinda pour ne peut le nommer. L’enfant prodige a ramené le butin jusqu’ici la Nation est restée aphone au-delà du retenti volontaire et professionnel voir même patriotique que certains médias nationaux ont donné à ce Super Prix d’Excellence édition 2019. Quelle preuve a –t-on encore besoin pour être à l’écoute de ce chercheur qui ne ménage aucun effort pour susciter l’engouement chez d’autres jeunes à s’investir dans la recherche pour le développement ? le Cameroun voudrait-il se considérer comme le propre cimetière de ses mozarts ? Que de questionnements qui méritent une analyse plus poussée. Mais dans l’esprit du jeune prodigue c’est le Cameroun (Vert Rouge Jaune avec une toile dorée au centre de la bande rouge) qui est en concert permanent. Le combat et la lutte continueront tant que le Cameroun n’osera lui-même pas donner l’importance à sa progéniture. #Le_Conseil_Scientifique un concept nouveau est en gestation...
Gerry Eba'a

LA JEUNESSE NE DEMANDE QUE DES INSFRASTRUCURES SPORTIVES MODERNES
L’heure est grave, la montagne est en train d’accoucher d’une souris. Les prestataires en charge de la réalisation des infrastructures sportives en vue des CAN 2016 et 2019 sont dans le maquis. Ils ont pris l’argent et sont en train de filer à la chinoise.
Comble de tout l’échéance avance à grand pas. Qui sont ceux qui ont la responsabilité de la réalisation et du suivi-évaluation des chantiers. Qui sont ceux ont gagné ces marchés. Comment les ont-ils gagnés. Coup franc dans la régulation de ces différents projets qui mettent le gouvernement dans tous ses états depuis quelques semaines.
Dans la grande majorité les entreprises chinoises sont présentées comme des mânes tombant de l’empire du milieu pour la modernisation des infrastructures sportives au Cameroun comme celle du palais polyvalent des sports.
Sans aucune forme de publicité ces entreprises affichent des taux d’avancement des travaux allant de 0 à 10% avec une consommation des délais oscillant 30 à 70%. Un véritable paradoxe dramatique.
La premièreresponsabilité va du côté du COMIPCAN comité de préparation des coupes d’Afrique des nations de football. Comité créé le 3 octobre 2014 par décret présidentiel. La filouterie et les trafics autour des attributions des marchés dont la décision finale d’attribution a fait l’objet des querelles entre les membres du gouvernement plus en clin à se disputer le leadership. Et si les entreprises chinoises parlent du manque du personnel c’est également de la faute du gouvernement qui laisse cours à l’esclavagisme dans plusieurs projets que réalisent la chine au Cameroun. Lom Pangar, Menve’ele et autres sont des exemples patents.
L’urgence est de stopper cette honte à venir pour le pays à qui le football a tout donné et qui devrait rendre l’ascenseur à ce football en réussissant l’organisation de ces deux grandes messes footballistiques africaines.
Rompre avec les coup-bas et le favoritisme ambiant pour faire place au vrai professionnalisme. La jeunesse regarde et observe. Pour une fois il faut éviter l’organisation à la camerounaise car les CAN ne sont pas le comice qui peut se faire en pacotille, le foot ne s’accommode pas du saupoudrage.
Que les stades sortent aussi de terre au Cameroun comme sortent les milliards de francs CFA du pays pour des paradis fiscaux. La jeunesse attend ses édens en 2016 et en 2019 pour accueillir comme il se doit l’Afrique du football.
Gerry EBA’A
LA JEUNESSE NE DEMANDE QUE DES INSFRASTRUCURES SPORTIVES MODERNES
L’heure est grave, la montagne est en train d’accoucher d’une souris. Les prestataires en charge de la réalisation des infrastructures sportives en vue des CAN 2016 et 2019 sont dans le maquis. Ils ont pris l’argent et sont en train de filer à la chinoise.
Comble de tout l’échéance avance à grand pas. Qui sont ceux qui ont la responsabilité de la réalisation et du suivi-évaluation des chantiers. Qui sont ceux ont gagné ces marchés. Comment les ont-ils gagnés. Coup franc dans la régulation de ces différents projets qui mettent le gouvernement dans tous ses états depuis quelques semaines.
Dans la grande majorité les entreprises chinoises sont présentées comme des mânes tombant de l’empire du milieu pour la modernisation des infrastructures sportives au Cameroun comme celle du palais polyvalent des sports.
Sans aucune forme de publicité ces entreprises affichent des taux d’avancement des travaux allant de 0 à 10% avec une consommation des délais oscillant 30 à 70%. Un véritable paradoxe dramatique.
La premièreresponsabilité va du côté du COMIPCAN comité de préparation des coupes d’Afrique des nations de football. Comité créé le 3 octobre 2014 par décret présidentiel. La filouterie et les trafics autour des attributions des marchés dont la décision finale d’attribution a fait l’objet des querelles entre les membres du gouvernement plus en clin à se disputer le leadership. Et si les entreprises chinoises parlent du manque du personnel c’est également de la faute du gouvernement qui laisse cours à l’esclavagisme dans plusieurs projets que réalisent la chine au Cameroun. Lom Pangar, Menve’ele et autres sont des exemples patents.
L’urgence est de stopper cette honte à venir pour le pays à qui le football a tout donné et qui devrait rendre l’ascenseur à ce football en réussissant l’organisation de ces deux grandes messes footballistiques africaines.
Rompre avec les coup-bas et le favoritisme ambiant pour faire place au vrai professionnalisme. La jeunesse regarde et observe. Pour une fois il faut éviter l’organisation à la camerounaise car les CAN ne sont pas le comice qui peut se faire en pacotille, le foot ne s’accommode pas du saupoudrage.
Que les stades sortent aussi de terre au Cameroun comme sortent les milliards de francs CFA du pays pour des paradis fiscaux. La jeunesse attend ses édens en 2016 et en 2019 pour accueillir comme il se doit l’Afrique du football.
Gerry EBA’A
LA JEUNESSE NE DEMANDE QUE DES INSFRASTRUCURES SPORTIVES MODERNES
L’heure est grave, la montagne est en train d’accoucher d’une souris. Les prestataires en charge de la réalisation des infrastructures sportives en vue des CAN 2016 et 2019 sont dans le maquis. Ils ont pris l’argent et sont en train de filer à la chinoise.
Comble de tout l’échéance avance à grand pas. Qui sont ceux qui ont la responsabilité de la réalisation et du suivi-évaluation des chantiers. Qui sont ceux ont gagné ces marchés. Comment les ont-ils gagnés. Coup franc dans la régulation de ces différents projets qui mettent le gouvernement dans tous ses états depuis quelques semaines.
Dans la grande majorité les entreprises chinoises sont présentées comme des mânes tombant de l’empire du milieu pour la modernisation des infrastructures sportives au Cameroun comme celle du palais polyvalent des sports.
Sans aucune forme de publicité ces entreprises affichent des taux d’avancement des travaux allant de 0 à 10% avec une consommation des délais oscillant 30 à 70%. Un véritable paradoxe dramatique.
La premièreresponsabilité va du côté du COMIPCAN comité de préparation des coupes d’Afrique des nations de football. Comité créé le 3 octobre 2014 par décret présidentiel. La filouterie et les trafics autour des attributions des marchés dont la décision finale d’attribution a fait l’objet des querelles entre les membres du gouvernement plus en clin à se disputer le leadership. Et si les entreprises chinoises parlent du manque du personnel c’est également de la faute du gouvernement qui laisse cours à l’esclavagisme dans plusieurs projets que réalisent la chine au Cameroun. Lom Pangar, Menve’ele et autres sont des exemples patents.
L’urgence est de stopper cette honte à venir pour le pays à qui le football a tout donné et qui devrait rendre l’ascenseur à ce football en réussissant l’organisation de ces deux grandes messes footballistiques africaines.
Rompre avec les coup-bas et le favoritisme ambiant pour faire place au vrai professionnalisme. La jeunesse regarde et observe. Pour une fois il faut éviter l’organisation à la camerounaise car les CAN ne sont pas le comice qui peut se faire en pacotille, le foot ne s’accommode pas du saupoudrage.
Que les stades sortent aussi de terre au Cameroun comme sortent les milliards de francs CFA du pays pour des paradis fiscaux. La jeunesse attend ses édens en 2016 et en 2019 pour accueillir comme il se doit l’Afrique du football.
Gerry EBA’A